I- VOUSPrénom : Tatiana
Age : 17 ans
Comment avez-vous connu notre pensionnat ? : topsite
Serez- vous actif ? [ /10 ] : Comme je suis en vacanse, et que je vais glander toute seule chez moi comme un rat mort -_-° je pense être plus qu'actif. Venir minimum une fois par jour et poster autant que je le pourais. :D
II- VOTRE PERSONNAGENom : Kairi
Prénom : Kiriya
Age : 17 ans
Sexe : masculin
Sexualité : [ Heterosexuelle/ Bisexuelle/ Homosexuelle ] hétéro
Nationalité : Japan
Rôle : [ Eleve / Professeur / Surveillant … ] élève
Caractère : [ 3 lignes minimums ] Kiriya est le genre de garçon qui ne se prend pas la tête, délire beaucoup mais a ses limites et une grande maturité. Ce caractère le rend simple et admirable à la fois, il en inspire même l’inaccessibilité tellement il s’avère bon et humble. Mais derrière se semblant de prince charmant, se cache une terrible lâcheté et de profonds remords qui le rendent aussi mystérieux qu’il n’est lâche. Un comportement que n’importe qui pardonnerait après connaissance de son passé. Malheureusement, son enfance reste aussi fermée qu’une prison, où lui-même s’est réfugié. Plutôt introverti, Kiriya est très dur avec lui-même.
Histoire : [ 10 lignes minimums ] Tout es de ta faute !
Kiriya n’a pas connue son père. Sa mère, dénommé Yuka, lui avait vaguement expliqué qu’il était partit en apprenant qu’elle était enceinte. Un enfant non désiré, voilà ce qu’était Kiriya. Et ça mère en larmes lui disait souvent :
« C’est de ta faute si je suis toute seule. A toi et a Alérîa ! C’est vous ! C’est à cause de vous qu’ils m’ont abandonné et que je souffre tant maintenant ! »Mais le garçon, malgré son jeune âge, s’est toujours efforcé de ne pas la prendre au sérieux.
« Tu n’es pas dans ton état normal, tu ne pense pas ce que tu dis ! Repose-toi maman ! Repose-toi… » Murmurait-il à Yuka, en espérant qu’elle reprenne ses esprits très vite.
Kiriya était persuadé que si sa mère était dans de tels états, c’était à cause des cachets qu’elle prenait. Effectivement, la pauvre femme était entrée dans une dépression sans fin depuis que son mari l’avait quitté. On lui avait recommandé des médicaments pour qu’elle se soigne. Mais Yuka en avait très vite abusé.
Très jeune, Kiriya s’était aperçut que sa mère prenait des substances étranges, mais pour lui, il ne s’agissait que de nourriture.
« Tu mange quoi maman ? » Sa mère le regardait alors avec un petit sourire avide et mesquin aux lèvres, tout en se recourbant sur elle-même pour mieux garder jalousement ses cachets.
« …ça ? Ce sont mes bonbons à moi ! »Le silence de maman
Le pauvre garçon a donc grandit avec une mère droguée, mais aussi avec Alérîa. Sa jeune demi-sœur.
C’est l’année de ses 7 ans, que Yuka réussi à trouver un deuxième époux et eut par la même occasion son deuxième enfant. Une tendre et jolie fille aux cheveux blancs comme la neige et aux yeux scintillant de cristaux bleutés.
« Elle est magnifique ! Elle s’appellera Alérîa. Parce que cela ressemble à de l’espagnol : joie ! »Grâce à cette enfant, Yuka était persuadé qu’elle sortirait de son enfer. Mais son accoutumance aux médicaments devint de plus en plus importante. Son corps en vînt à ne plus être satisfait par ses cachets. A cause de ce manque, elle devenait incontrôlable et violente. Le nouveau mari tenta de l’a soigner, de lui faire prendre conscience de sa dépendance. Malgré touts ses efforts, il finit par partir. Abandonnant les deux enfants et Yuka.
En grandissant
Les années passèrent elles aussi. Kiriya allait à l’école, et Alérîa commençait à parler. Le garçon dut prendre sur lui-même pour assurer les tâches que Yuka ne pouvait désormais plus assurer. Tel que surveiller sa petite sœur, lui offrir son amour, et parfois même l’a nourrir.
La décadence de la mère s’aggravait alors. Un soir, Yuka se retrouva assise devant une petite table, où des traînées de poudre blanche se trouvaient comme pour en faire un quadrillage. Pendant ce temps, Kiriya qui n’avait que 12 ans, préparait de quoi manger à Alérîa. La petite fille tournait autour de son frère en rigolant. Elle s’arrêta soudainement sur une petite commode, contemplant, pleine d’admiration et de curiosité, les fameuses boites de médicaments de sa mère.
* Maman mange beaucoup ça…Maman doit aimer ça…Sa doit être bon si Maman aime ça ! *Elle cahota jusqu’à son frère tout en pointant du doigt la précieuse boite :
« Kiki-kun ! Kiki-kun ! C’est quoi la boite que Maman mange ? »« …C’est des bonbons…les bonbons de Maman. »Les larmes roulèrent dans ses yeux, mais elles ne franchisèrent pas la frontière de ses cils inférieurs. Un regard triste et bienveillant se posait sur le visage crédule de Alérîa. Elle savait bien qu’elle n’avait pas le droit de toucher à ses ‘bonbons’, Kiriya le savait lui aussi. Mais malgré cela…
Ne me tape pas !
Kiriya avait maintenant 14 ans, il se rendait enfin compte que tout cela était allé trop loin. Qu’il était l’unique homme de la maison et devait agir ! Pour lui, sa sœur, et sa mère…
La seule précaution qu’il put prendre, fût de mettre Alérîa dans la chambre et de lui dire de ne pas en sortir.
« Pourquoi ? »« Parce que je vais avoir une discution avec maman. C’est très important. »Il ferma la porte, puis hésita longuement. Si Yuka venait à s’énerver, serait-elle capable de se venger sur la petite fille ? Vaudrait-il mieux l’enfermer dans sa chambre à double tour ? Et si au contraire elle venait à s’en prendre a lui ? Un peu lâche, il vaudrait mieux qu’il laisse la porte déverrouillée, pour qu’en cas de problème il puisse s’y faufiler et s’enfermer à ce moment-là. Réflexion faite, Kiriya, un tant soit peu honteux, laissa la porte entrouverte. Puis entra dans la chambre de sa mère. Cette dernière gisait par terre, une seringue à la main. Fou de rage, mais une colère aussi crée par la peur, le jeune homme vida les tiroirs. Jetant à terre boite de médicaments, sachet de poudre blanche, flacon liquide,…
Yuka reprit ses esprits lentement. Et a son tour elle s’énerva envoyant cette vision d’horreur : son fils qui saccageait tous, tous ce qui monopolisait toute son attention, et ce sans vergogne.
Elle l’attrapa violemment à la tête, et avec se crâne qu’elle tenait si fermement, Yuka lui fit racler le sol.
« Tu fais plus le malin maintenant ! Tu croyais vraiment que j’allai pas te voir ? Espèce de petit sala**. »Elle vociférait comme un serpent, sa férocité n’en faisait pas moins oublier son ridicule. Car elle n’était pas vraiment dans son état normal. Et bien que sa voie et ses gestes étaient terrifiants, ils restaient complètement décalés avec son apparence. On aurait dit un clown qui se voulait vampire. Ses yeux injectés de sangs roulaient comme des billes dans leurs orbites, sa bouche grimaçait à chaque articulation, son visage tout entier était tellement débile que Kiriya en oubliait même qu’il avait peur. Maintenant, sa première inquiétude était sa mère. Pourtant, celle-ci n’était pas des plus douce, elle faisait râper le visage de son fils contre la moquette sale, en lui brûlant certainement la peau. Une de ses fioles, c’était d’ailleurs brisé un peu plus haut. Déversant son liquide sur le sol. Une substance qu’elle injectait depuis peu, directement dans ses veines avec des seringues, tant les médicaments ne contentait plus son organisme. Voyant la tache encore fraîche, Yuka fit frotter le visage de Kiriya à cet endroit. Se doutant que cela occasionnerait de douloureuses brûlures.
« Tu fait moins le malin maintenant ! Hein ? Sa t’apprendras à toucher à mes affaires ! »Le jeune homme ne put contenir ses cries. Sa joue lui faisait l’effet d’un feu ardant, de braise rouge sortant du bûcher. Il entendit alors une petite voie étouffée :
« Ya-kun… »Alérîa avait quitté sa chambre pour venir contempler l’hideux spectacle. Debout devant cette scène, une peluche à la main, les cries l’avaient sûrement ameuté. Et maintenant, elle restait figé, le visage horrifié. Yuka lâcha très vite son fils et se dirigea menaçante vers son deuxième enfant. La petite fille murmura en fermant les yeux, et en réédifiant son corps, crispé de peur:
« Ne me tape pas ! »Et en réponse, elle se fît bousculer par sa mère qui quittait la pièce.
Les bonbons n’étaient pas bons
A la suite de cet épisode, on ne revît plus du tout la mère. Elle s’était désormais enfermée au grenier. Kiriya cessa de parler à sa petite sœur. Trop honteux et coupable de lui avoir affligé un pareil spectacle. Mais la petite fille n’était au courant de rien elle. La seule chose dont elle s’apercevait, était que sa mère avait disparut et que son frère ne lui parlait plus. Elle avait eut beau lui adresser la parole, aucune réponse ne s’était fait entendre. Triste, seule, Alérîa n’avait pas l’impression d’être la fille de la joie.
Un soir, alors qu’elle jouait avec des bouts de verres (non sans s’entailler les doigts), elle eut l’envie de manger des sucreries. Mais plus personne ne lui en avait acheté depuis longtemps. La petite s’aventura alors dans la chambre de sa mère, abandonné depuis plusieurs mois. Elle n’eut pas besoin de chercher, rien n’avait changé depuis ce jour. Les boites de médicaments étaient rester écrasés à terre. Alérîa prit quelques cachets et les contempla longuement.
« Que vous êtes beau ! Que vous êtes doux ! Vous devez être délicieux ! »Pendant ce temps, Kiriya sortit dehors, ce qui ne lui arrivait que très rarement. Il tomba même dans la rue sur une jeune personne de son âge. Une jolie fille dont il ignorait tout. Il s’avérait qu’elle aussi ait des cadets, et que la vie ne l’ait de même pas gâtée. Au terme de leur discution, Kiriya eut une envie pressente de voir sa petite sœur et de lui dire combien il l’aimait. Elle était la personne la plus chère à ses yeux ! Mais en rentrant il ne l’a retrouva pas dans la cuisine comme à sa fâcheuse habitude.
« Alérîa ! Alérîa ! Où tu te caches ? »Après avoir fait le tour de la maison, il s’arrêta devant la porte entrouverte de la chambre de sa mère. Le jeune homme y pénétra doucement, et put voir sa petite sœur. Elle était là ! Etalé sur le sol, et ses cheveux nuages caressait ce visage pâle d’enfant. Kiriya se jeta à ses cotés, et l’a prit par les épaules avec la précaution dont on use pour toucher un bébé. Il put voir que ses petites mains dodus étaient fermés, et il n’hésita pas à les ouvrir pour voir ce qu’elles renfermaient : les médicaments de sa mère ! Prit de peur, les larmes immergèrent rapidement ses joues. Et dans un dernier souffle, Alérîa lui dit :
« …les bonbons n’étaient pas bons. »On aurait pu lire un sourire avant qu’elle ne soit prise d’une convulsion soudaine qui montrait l’arrêt de son petit cœur.
Le cœur guérit mais la cicatrice ne meurt jamais
Le temps continua de couler, et la mort de Alérîa changea quelque peu les choses. Effectivement, Yuka quitta le village pour se soigner dans un centre adapté, alors que Kiriya resta ici. Ronger par la culpabilité.
« Les derniers jours de sa vie je n’était pas là ! Je l’ai ignoré bêtement ! Si j’avais été là, jamais elle ne serait morte ! Si je ne lui avais pas dit que c’étaient des bonbons, jamais elle n’en aurait avalé une si grosse quantité. Tout est de ma faute…maman avait raison ! »Le médecin avait expliqué que la petite fille était morte d’une overdose. Pour le jeune homme tout était clair : il était fautif !
Comme sa mère ne subvenait plus à ses besoins, Kiriya fut placé dans un pensionnat. En même temps, il recevait les lettres de sa mère. Ses bouts de papier, qu’elle s’obstinait à lui envoyer, étaient jonchés de reproche et de rancoeur.
« Fils de ma misère, je t’écrit encore et toujours ! Bien que je sois persuadé que tu ne prennes même pas la peine de me lire ! Et d’ailleurs, j’attends encore et toujours tes réponses qui n’arrivent jamais ! Enfin, je ne dois pas trop attendre d’un fils ingrat ! Sache que si tu n’étais pas née, mon amour ne m’aurait pas quitté, je ne serais pas tombé dans une telle décadence où maintenant je paye les prix de ta naissance ! Et ma petite fille, fille du bonheur, ne serait pas morte ! Tu me l’as arraché, comme tu m’as arraché mon époux, et ma santé ! Je te hais comme je hais ma nouvelle vie ! Les médecins disent qu’il y a peut de chance que je retrouve mon autonomie, alors réjouit-toi ! »Kiriya lisait avec peine les lettres pleines de mépris de sa mère. Il ne lui répondait certes pas, mais il endurait ses coups de poignards comme une punitions à ses erreurs vis-à-vis de Alérîa.
Qualités/Defauts : [ 2 lignes minimums ] Heum...je pense avoir tout dis dans son caractère mais on vas récapituler: Drôle, mature,simple et naturel, mais lache et parfois aggressif.
Physique: Kiriya est un jeune homme grand et bien bâtît. Ses yeux passent facilement du marron clair au bleue sombre des mers. Ses cheveux son blond, presque blanc. Une pâleur qui contraste bien avec son teint légèrement bronzé. Niveau vestimentaire, Kiriya est très simple : un jean, une chemise. Et il n’attache d’ailleurs que très peu d’importance à sa garde-robe.
(désolé si c'est un peu long -_-° et pour info, je serais surement abonné au rdv chez la spy :D)