I- VOUS
Prénom : Marie-Laurence
Age : 14 et des molécules
Comment avez-vous connu notre pensionnat ? : Par un partenariat ^^
Serez- vous actif ? [ /10 ] : 7/10, à cause des vacances parfois et des semaines le plus souvent sans ordi
II- VOTRE PERSONNAGE
Nom : Aoki
Prénom : Kanha
Age : 16 ans
Sexe : Féminin
Sexualité : Bi tendance homosexuelle prédominante.
Nationalité : Japonaise / Russe
Rôle : Elève
Caractère : Kanha est à la fois spontanée et réservée, parce que si elle réagit presque toujours automatiquement il y a aussi bien des choses qu'elle tait. D'un naturel peu expansif sur sa propre personne avec les inconnus, elle peut beaucoup parler d'elle et des autres avec des personnes avec lesquelles elle se sent bien, en confiance.
Elle n'aime pas vraiment voir les autres tristes, sauf si elle ne les aime pas. En général, elle essaie un peu de consoler, sans forcer, parce qu'elle sait que parfois il ne faut pas trop supposer ni parler, juste être à côté.
Elle sourit facilement mais ne rougit pas souvent.
Au premier abord elle peut sembler distante mais en général elle dégèle au bout de deux phrases. Parfois elle est difficile à apprivoiser, ça dépend de son état d'esprit : si elle regrette ou si elle se sent libérée.
Elle peut être sujette à des exlosions, due à la colère ou à un trop plein de sentiments, de sensations.
Histoire : Kanha est née en Russie, à Moscou, car sa mère est russe. Elle n'y est cependant pas restée plus d'un an. Son père est japonais et était à l'époque en Russie pour son travail.
Elle a vécu pendant six ans en Russie puis, son père ayant été affecté de nouveau dans son pays natal Kanha et sa mère le suivirent. Elle ne fut pas du tout triste, ou désolée, de ce déménagement au début parce qu'elle aimait autant le Japon que son grand pays d'origine. Mais peu à peu en grandissant elle se prit à regretter la neige, et la ville pas immense dans laquelle elle vivait auparavant - ce qui lui manquait, c'était une sorte de liberté. Elle se sentait un peu oppressée, à l'étroit.
Cependant, elle n'en fit pas une dépression et tenta de s'y accoutumer.
Sa scolarité se passa sans histoire dans un établissement tout ce qu'il y avait de plus respectable - et de plus strict et intolérant, aussi. Bref, un établissement d'excellence. Elle avait des très bonnes notes même si rien ne l'intéressait vraiment. Elle avait des amies, des amis, pas beaucoup mais bien assez. Côté coeur, elle ne se sentait pas vraiment l'âme d'une grande romantique, ce qui fait qu'elle sortit avec plusieurs mecs - qu'elle n'aimait certainement pas, tout en convoitant certaines des ses camarades de classe sans vraiment y croire. Elle laissait ces types faire ce qu'ils voulaient, même si elle ressentait souvent un besoin d'être libre, indépendante, et surtout de ne plus être "dominée. Mais faire comprendre ça à un mec...C'est tellement obtus, un mec.
A 15 ans, elle se sentit tout à coup dégoûtée de la "vie" qu'elle menait.
Un jour, à l'approche de la fin de l'année, elle sentit tout les regards des mecs qui l'avaient touchées posés sur elle, et faillit défaillir. Elle sentit aussi le poids de l'absence des regards de ce qu'elle désirait vraiment, ce qui l'emplit d'une mélancolie mélée de regret et d'un peu de désespoir.
"Overwhelming"
Carrément dégoûtée, elle repoussa violemment son copain actuel qui s'était laissé aller à lui toucher le bras. Il la regarda d'un air interdit. Comme c'était un ignoble machiste absolument sur de lui, il réessaya, persuadé qu'elle avait réagit instictivement s'en s'appercevoir que c'était lui. Elle se dégagea à nouveau et lui hurla de la lacher.
Non seulement il était estomaqué, mais les regard d'une bonne partie des personnes présentes dans le couloir s'était retournée vers elle. Elle les toisa, son regard s'attardant parfois sur des personnes chères à son coeur. Elle s'apperçut alors qu'en fait, peut-être qu'elle avait toujours aspiré à aimer quelqu'un de toute son âme. Trop tard.
Comme il y en avait qui lui posait des questions, elle se dit que c'était le moment. Elle leur cria de na pas l'approcher. Elle leur jeta son dégoût à la figure, leur vomit son mépris dessus. Et finalement, elle empoigna la ravissante jeune fille qui ouvrait des grands yeux et l'embrassa.
Le reste est un peu confus dans son souvenir. Un professeur avait du arriver. Il fut décidé qu'elle ne pourrait pas réintégrer cet établissement l'année suivante, et les dernières semaines, isolée mais satisfaite, elle afficha comme une sorte de défi à son monde un sourire radieux.
Elle avait perdu des amis, l'estime de ses parents, mais elle avait gagné sa liberté. Ils l'envoyèrent dans un pensionnat, loin d'eux, à la campagne. Elle en fut heureuse, mais ne le montra que lorsqu'ils lui annoncèrent la nouvelle en pensant lui faire de la peine.
Qualités/Defauts : Joyeux, spontanée, souriante, jolie, affectueuse, assez sociable dans l'ensemble /
Anti-conformiste
/ Parfois distante, pas vraiment obéissante, avec des récations de temps en temps bizarres et / ou violentes, langue très bien pendue
Physique : Elle a hérité de sa mère ses grands yeux verts et son teint pâle, ainsi qu'un visage fin et un nez également, plutôt occidental.
Ses lèvres ne sont pas fines contrairement à ses doigts. Elle portes du vernis noir sur des ongles courts à la main gauche et longs à la droite, guitare classique oblige. Ses cheveux sont noirs et longs jusqu'à ses épaules, mais elle les attaches toujours.
Elle porte souvent des boucles d'oreilles et des vêtement noirs, turquoises ou blancs. En haut, elle met volontiers en avant sa poitrine par des chemises / chemisiers et joyeux décoletés, quand elle ne porte pas des T-Shirts masculins plutôt faits pour qu'elle se sente bien.
Elle met rarement des jupes et affectionne les jeans.