Je vous présente certain poèmes que j'ai écrit, dans des périodes "spécial" de ma vie. Je vous met les plus courts.
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Ange et démon voulaient s'aimer,
Telle est la raison qui les a séparés,
Être réunit pour eux,
Était impossible à leurs yeux,
Comme on dit souvent,
Les opposés s'attirent,
Et au gré du vent,
Se retrouvent réunis,
Conscients de leurs différences,
Conscients qu'ils ne pourraient jamais vivre ensemble,
Ils prirent la décision de se séparer,
Sachant que cette illusion ne pourrait se réaliser,
Mais ni l'un ni l'autre ne le supportaient,
Alors ensemble sur leurs vies tirèrent un trait,
Leur illusion devint réalité,
Ils furent réunis pour l'éternité.
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Je m'accroche à une illusion,
Mais rien n'arrivera jamais,
Je vais bientôt touché le fond,
Je t'aime tellement mais je te hait.
Si tu savais a quel point,
Je souffre à cause de toi,
Et pourtant je ne t'aime pas moin,
Et je le crierait sur les toit.
Comment pourais-je te pardonner aprés ça,
Je ne le voit vraiment pas,
Comment pourais-je continuer à t'aimer,
Aprés tous ce que tu m'a fait endurer.
J'aissai de toutes mes force de trouver la solution,
Mais la rage et l'amour brûle en moi avec passion,
Je croit que je l'ai trouver,
Si seuleument je n'avait jamais éxister.
Je vais réparer cette érreure,
Il me suffit juste de quelque heures,
Pour mettre fin à ma vie,
Comme je me l'étais promis.
Ne te rend pas coupable,
Ni malheureux,
Je ne le mérite pas,
Je te dit adieu.
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Mon amour, mon amour,
dit moi pourquois,
parmis les foules,
je ne vois que toi ?
Mon amour, mon amour,
tu en aime une autre,
tu ne me vois pas,
parmis ces autres.
Mon amour, mon amour,
je ne supporte plus,
cette situation,
je n'en peu plus.
Mon amour, mon amour,
je t'en supplie ne m'oubli pas,
je m'en vais avec les anges,
au loin, la bas.
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Un vent d'amour souffle de nouveau sur ma vie,
Je suis une rose qui vient de s'épanouire,
J'avait malheureusement fanée,
Mais quelqu'un m'a enfin réanimé.
Cet être fait partit de moi,
Il est mon autre, mon second moi,
Il n'est pas mon double parfait,
Mais c'est indeffinissable le bien qu'il ma fait.
Sa présence apaise mon âme,
Ses paroles transperce mon coeur,
Elles m'atteignent aussis vite qu'une lame,
Tellement précise que j'en ai peur.
Je ne me lasserais jamais de ses lévres,
Je les embrasserais à en crever,
Même si j'en perd la raison,
Je désir qu'à jamais nous soyons,
Deux âmes réunis pour la vie.
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Mon âme sombre peu à peu dans l'océan d'immondices que sont mes pensées,
Emporté par ces vagues de démances, ensevelis sous le poid du destin,
Je ne controle plus rien, submergé par ces impulsions malsaines,
Et j'attein enfin ton coeur si désiré,
En plein centre et il s'est arréter,
Les mains rougies par ma passions, je me réveil tes yeux son clos.